- Taille compacte
- Vidéo 4K
- Prise de vue en rafale à 11 images/seconde
- un seul emplacement pour carte UHS I
- Autonomie de la batterie de 300 photos
Nikon Hybride Z50 boitier nu
- Large monture Nikon Z et grand capteur 20,9 MP au format DX
- Viseur électronique OLED de 0,99 cm et résolution de 2360 k pixels (XGA)
- AF 209 points, vidéos 4K/UHD à 30p sans crop, stabilisation via optique VR
- un viseur électronique de 2,36 Mp,
- une poignée profonde facilitant la tenue en main,
- 20 Picture Control déclinables en plus de 180 réglages différents (JPG),
- un partage aisé des photos via Wifi et Bluetooth et l’application mobile Snapbridge,
- une nouvelle batterie EN-EL25 autorisant la recharge via le port USB en complément du chargeur Nikon MH-32.
- une plage de sensibilité variant de 100 à 51.200 ISO,
- un AF plein champ (couverture exacte 90%) à 209 points doté de la fonction Eye-AF, à corrélation de phase et détection de contraste, détection AF à -4 IL en basse lumière,
- un écran inclinable à 180° de 1.040 Mp (les vidéastes apprécieront),
- un flash intégré,
- un mode rafale à 11 vps avec suivi AF et exposition continue,
- un mode vidéo 4K à 30 vps, ralenti 120 vps sans recadrage et time-lapse (mais pas de sortie 10 bits et N-Log),
- un processeur Expeed 6,
- un obturateur mécanique offrant déclencheur mécanique et électronique silencieux, 1/4000 ème sec
- un emplacement pour carte mémoire SD UHS-I.
Présentation
La première tentative de Nikon de produire des appareils photo sans miroir à objectif interchangeable n’a pas vraiment été révolutionnaire ; le capteur CX de 1 pouce de la série 1, relativement petit et de faible résolution – avec un facteur de récolte de 2,7x – a rapidement pris du retard sur ses concurrents sans miroir.
La solution a été la monture Z, qui a été introduite fin 2018 et est donc arrivée un peu tard.
Avec la monture Z révolutionnaire des appareils Nikon sans miroir, l’entreprise a repensé sa monture d’objectif de fond en comble. Les deux premiers modèles, les Nikon Z 7 et Z 6 plein cadre, ont vraiment mis en valeur cette technologie de pointe, avec une gamme d’objectifs S-line qui sont parmi les plus pointus que nous ayons jamais testés. Ceci qualifie les appareils photo Z de Nikon comme étant parmi les meilleurs appareils photo sans miroir que vous pouvez trouver. Cependant, ils ont un prix élevé. Aujourd’hui, plus d’un an après le lancement de la monture Z, Nikon a sorti son premier modèle de monture Z sans miroir plus abordable.
Une grande partie de cette économie est due à l’utilisation d’un capteur de la taille d’un APS-C’DX’, tel qu’il est utilisé dans sa gamme de reflex numériques d’entrée de gamme, ce qui a permis à l’appareil de se lancer avec un prix bien inférieur à 1 000 €. Ce boîtier DX est équipé de la même monture Z que celle utilisée sur les modèles pleine monture, de sorte que les objectifs Z pleine monture peuvent être montés directement sur le Z50 (et les nouveaux objectifs Z DX s’adapteront aux objectifs Z 6 et Z 7). En utilisant le même adaptateur FTZ, les objectifs DX et FX existants pour reflex numériques peuvent également être utilisés sur le Z50.
En même temps que le lancement du Z50, la société a également dévoilé sa dernière feuille de route pour les objectifs Nikon, soulignant son engagement envers sa nouvelle monture Z sans miroir.
Mais la taille réduite des capteurs physiques n’est pas le seul endroit où des économies ont été réalisées. Ce modèle n’est pas équipé d’un système de stabilisation de l’image corporelle (IBIS), c’est pourquoi les objectifs lancés avec le nouveau modèle intègrent le système anti-vibration de Nikon.
Mais sinon, les spécifications sont vraiment impressionnantes. Le capteur au format DX de 20,9 mégapixels emprunte le système Hybrid-AF (autofocus) rapide et large des appareils photo Nikon’Z’ plein cadre, avec 209 points AF couvrant 90 % de la largeur et de la hauteur du capteur. Sa plage de prise de vue en continu à 11 images/seconde (avec autofocus complet et exposition automatique) est presque identique à celle de la Z 6 (et dépasse celle de la Z 7), et la place certainement parmi les appareils les plus rapides du marché, avec de nombreux reflex numériques de niveau professionnel. C’est aussi un excellent appareil à faible luminosité, avec une plage ISO native de 100-51 200 ISO jusqu’à -4EV.
Le Z 50 est idéal pour la vidéo, tirant 4K sur toute la largeur du capteur, plutôt qu’une version recadrée que certains rivaux ont employé. Des séquences 4K time-lapse peuvent être créées dans l’appareil photo, tandis que la prise de vue en Full HD ajoute un mode ralenti supplémentaire.
Le Z 50 est également équipé d’un viseur électronique. Sa résolution est inférieure à celle de ses cousins en plein cadre à 2,36 millions de points au lieu de 3,6 millions, mais nous avons trouvé qu’elle était nette et qu’elle montrait peu de signes du décalage qui a affecté certains des concurrents de Nikon. Les viseurs électroniques prennent un peu de temps d’adaptation, mais une fois que vous vous y êtes habitué, voir l’effet de vos réglages d’exposition dans le viseur avant de prendre la photo est tout simplement brillant.
Un écran tactile inclinable de 1,04 million de points pivote de 180 degrés pour se placer sous le boîtier de l’appareil photo, et est principalement conçu pour les utilisateurs autonomes et les blogueurs ; Nikon voit une grande partie de son marché cible comme des « influenceurs » qui utilisent des plateformes comme Instagram et Youtube pour partager du contenu.
Design et ergonomie
L’appareil est plus petit et plus léger que les modèles Z plein format, mais elle utilise une poignée profonde similaire qui est confortable à tenir. Il comporte moins de boutons que les Z 6 et Z 7, mais les icônes tactiles gravées à côté de l’écran tactile remplacent certaines des fonctionnalités des boutons physiques.
Il y a des roulettes de défilement montées à l’arrière et à l’avant qui permettent, entre autres fonctions, de modifier rapidement l’ouverture et la vitesse d’obturation. Le sélecteur de mode d’exposition pivote de gauche à droite de la plaque supérieure, par rapport au Z 6/7, mais dans une mesure peu encombrante (et économique), il n’y a pas d’écran LCD supérieur. Deux boutons ‘Fn’ programmables permettent de modifier rapidement les réglages les plus courants et se trouvent au même endroit que le Z 6/7, à proximité de la monture de l’objectif.
Si le Nikon Z 7 est l’équivalent sans miroir du reflex D850 et le Z 6 du D750, le Z 50 est à peu près le même que le Nikon D7500 (et peut-être le Nikon D500) en tant qu’appareil APS-C, et Nikon a laissé entendre que nous pouvons nous attendre à voir des modèles d’entrée de gamme sans miroir encore moins chers sortir dans le temps pour s’adapter aux Nikon D5600 et D3500.
Notre avis sur le Nikon Z 50
Nikon Hybride Z50 boitier nu
- Large monture Nikon Z et grand capteur 20,9 MP au format DX
- Viseur électronique OLED de 0,99 cm et résolution de 2360 k pixels (XGA)
- AF 209 points, vidéos 4K/UHD à 30p sans crop, stabilisation via optique VR
Techniquement, le Z 50 peut ressembler à une version réduite des Nikon Z 6 et Z 7, mais il offre une sensation très différente. Nikon a fait un travail remarquable pour donner à un appareil aussi petit une prise en main d’une seule main aussi solide, mais, outre la taille de l’appareil, nous avons été impressionnés par l’objectif APS-C de 16 à 50 mm qui est l’un des plus fins que nous ayons jamais vu et qui utilise un zoom mécanique plutôt qu’un zoom électrique. Mais plus encore que l’appareil photo et son objectif en kit, nous sommes impressionnés par les prix Nikon. Le Z 50 coûte moins cher que ses principaux rivaux APS-C, le Sony A6400 et le Fujifilm X-T30, et le prix du kit d’objectif et des packs de deux objectifs est tout à fait remarquable.
Bonjour, En tant que photographe professionnel » utilisateur » de l’appareil photo en tant qu’ outil, permettez moi de vous féliciter pour ce test du Nikon Z 50, qui tranche avec ce qu’on peut lire dans la presse speciialisee.En effet, en général, sans bien sûr que ce soit un reproche, on lit des avis ou commentaires, plus axes sur le consumérisme, que le point de vue du photographe utilisateur qui a besoin d’un outil adapté aux situations rencontrées dans ses domaines d’utilisation.Sans prétention et en toute modestie, j’ai pratiquement utilise tous les types d’appareils que ce soit en argentique ou numérique petit ou moyen format, au cours de mes activités photographiques spécifiques de déroulant sur des décennies d’expérience.J’ai été intrigué par ces fameux » hybrides » initiés par Sony avec ses Alpha 7.Familiarise au plus tôt avec les visées non « optiques » avec les Alpha 77 et 99, je n’ai absolument pas été déroute par la visée du Z 50, que je qualifierai d’extraordinaire, car on peut » voir en basse lumière » comme en plein jour ou presque, ce qui permet, par exemple en studio la perception des moindres détails du modèle de la lumière, de même que cette vision en Noir et Blanc complètement bluffante.Quand on vieillis, on apprécie de ne pas trimballer un fourre tout ou un sac a dos rempli de matériel lourd et encombrant, comme le sont là quasi totalité du matériel professionnel.La compacité de cet appareil, bien construit et fini permet de l’emmener partout et je partage l’avis de cet article en ce qui concerne le 16-50 » pancake » très agréable a utiliser avec des résultats d’excellent niveau de mon point de vue.Je n’ai pas d’avis, pour le moment sur le Zoom 50-250 dédié a ce Z 50 qui me sera livre prochainement, mais je peux supposer que Nikon, là encore aura fait au mieux.Pour conclure, bien que sur le papier la comparaison entre le Z 50 et le D 500 paraisse un peu étonnante, vu que ces appareils ne se situent pas en positionnement dans la même gamme, je ne peux qu’approuver et renchérir ce commentaire, vu que j’étais possesseur d’un D 500( haut de gamme Nikon de la gamme APS-C) et que je l’ai justement remplacé par ce Z 50, sans rien perdre- bien au contraire-(la visée électronique est un plus, de même que la compacité)de ce qu’etaient mes attentes et exigences d’utilisateur.
Il ne s’agit pas ici d’une critique exhaustive du Z50 (voir les tests & reviews qui foisonnent sur le web pour des critiques plus « généralistes »), mais des points qui me chatouillent dans ma pratique photo : la macro, essentiellement avec un Nikkor 105/2.8 stabilisé.
Au passage, j’ai opté pour le Z50 et non un Z6/Z7 car, outre la question de prix, le format DX est favorable à la macro (grandissement 2 fois supérieur). J’attendais donc des options orientées macro en plus par rapport au Z6/Z7… plutôt qu’en moins.
J’ajoute que mon ancien appareil était un D300 (avec pour les photos « familiales » un 16-85/3.5-5.6 DX qui a été remplacé par le 15-50 en monture Z) et que je n’ai jamais gouté à d’autres appareils récents, reflex ou hybrides.
Pas de possibilité de travailler à ouverture réelle pour contrôler en continu la profondeur de champ (au moins en mise au point manuelle car en automatique j’imagine que l’AF perdrait un peu la boule).
Peut-être le futur 105 macro en monture Z le permettra-t-il ?
Pas de mémorisation des réglages dans un fichier sur la SD Card (U1 et U2 peuvent facilement être confondus lors de la mémorisation des réglages courants…).
Pas de configuration de la distance maximale jusqu’à laquelle l’AF est autorisé à pomper (en mode AF-C il est très pénible de voir l’objectif pomper jusqu’à l’infini avant de revenir et pourtant ce mode permet de faire des photos nettes lorsqu’il y a un peu de vent, ce qui est une gageure en mode manuel).
Mon 105 Macro a un sélecteur qui permet de réduire la plage de mise au point de 0,5 m à l’infini… mais pas l’inverse ☹. Encore une piste pour un futur objectif macro en monture Z.
Fixer une fourchette en pourcentage par rapport à la distance mesurée lors de l’activation de l’AF est une autre approche (ou une approche complémentaire) peut-être plus pertinente ?
Pas de joystick pour le contrôle de la mise au point. Certes cette option a un coût et, avec un peu d’habitude, le « sélecteur multidirectionnel » rend le service.
Pas de focus bracketing/staking pourtant cela ne coûte « rien » car purement logiciel (et disponible sur les Z6/Z7). Ceci dit je fais la grande majorité de mes photos sur le terrain ce qui interdit pratiquement l’utilisation de cette fonction…
Pas de configuration de seuils d’alertes avec indication visuelle (et sonore désactivable) :
• Ouverture minimum (pour signaler l’arrivée du flou lié à la diffraction).
Un seuil global (et peut-être un par objectif ?).
• Vitesse lente (risque de flou de bougé). En macro le mode usuel est la priorité diaphragme et lorsqu’un insecte prend la pose, difficile de lâcher son doux regard.
Bien que Pinocchio ne soit pas un cousin avéré, mon nez active régulièrement la touche tactile « zoom+ » que j’aimerais donc pouvoir inhiber lorsque j’ai l’œil collé au viseur (j’ai dédié une touche au zoom et suis d’ailleurs surpris de ne pas pouvoir, par des appuis répétés, modifier le facteur de zoom comme le fait la touche tactile « zoom+ » !?).
Le « détecteur oculaire » est trop sensible et l’utilisation de l’écran tactile l’active régulièrement, même lorsque les doigts passent à plusieurs centimètre (avec la « commande du mode moniteur » en « sélection automatique », l’écran devient noir).
Le manuel (ou des informations sur le web) pourrait être plus précis sur certains points :
• Le D-Lighting modifie-t-il la prise de vue (modification de l’exposition, du gain sur les amplificateurs…) ? Autrement dit y a-t-il une différence entre un D-Lighting appliqué à la prise de vue et en post-production ?
• De façon plus générale quels sont les traitements appliqués par le Z50 qui ont un impact sur le fichier RAW produit par l’appareil ?
Touches ISO et +/- non configurables (cela ne coûte pas grand-chose car purement logiciel).
Cela dit elles ne sont pas très accessibles pendant la prise de vue et je préfère passer par le menu personnalisé via la touche F2 (qui tombe mieux sous la main) et le « sélecteur multidirectionnel » pour accéder à ces fonctions…
De façon générale un hybride permet de « tout faire au le viseur » et la disposition des touches utilisables en mode prise de vue devrait être pensée pour tomber sous les doigts, l’œil collé au viseur.
Et je suis prêt acquérir un appareil hybride sans écran (moins cher)… pour peu que je puisse faire la configuration de base depuis un PC, un smartphone, une tablette ou une application web…
En résumé je chipote et suis très satisfait du Z50 (la liste des points positifs serait bien plus longue !).
Merci pour votre retour très détaillé qui en aidera plus d’un 🙂